chroniques ordinaires | |||||
< | Dénonciation de délit imaginaire.
Marie n’en espérait pas autant, ni de voir l’intimité de sa douleur dévoilée au grand jour, elle a fauté, on la met donc en pâture. Avec des détails, tellement incroyables qu’on y a cru ! Qu’est-ce qu’on a cru ? Ce que les journaux nous disaient ? Ha… Marie n’en sera pas pour autant soignée, ni la république d’ailleurs. Car si je puis me permettre, elle est bien malade la république. Elle se prend à son propre jeu, en fait bien plus qu’elle ne devrait en faire. Elle se prend à ses propres contradictions, un état ne fonctionnant plus que sur l’image ne pouvait faire mieux ou se taire. Mais c’est pas grave : Mieux vaut se tromper que de ne rien dire, car c’est entendu il y a bien des problèmes d’antisémitisme dans notre pays et c’est aussi entendu que cela vient bien des banlieues. L’état a parlé bien vite et Marie va payer son imprudence, avec elle plus encore les jeunes présumés « pas de souche » Les rôles sont bien distribués pour le meilleur des mondes. et je ne dis pas qu'il y a manipulation... Même le Borgne n’en aurait pas rêvé, dans ses plus beaux sommeils ! Je suggère que nous fassions une jurisprudence « Marie » sur la question. Derrière une façade policée, le libéralisme n’en fini pas de dépouiller la planète, les clubs secrets internationaux réunissent hommes politique, journalistes et intellectuels de gauche ou de droite avec les banquiers et définissent ce que pourrait être ce monde. Des puissants tirent les ficelles et pourtant une simple et fragile petite femme qui voulait être aimée a mis notre France en péril . Vieux dicton : tourne ta langue sept fois dans ta bouche avant de parler. Cet
état en déséquilibre, si arrogant dans sa façade
médiatique, me fait irrésistiblement penser à
des faits qui se produisirent en Italie dans les années 70,
au vingtième siècle. Et bien là nous y arrivons,
je vous dévoile qui est Censor. Tout au moins ce que j’en
sais. Jacques
Bonnot, lundi 26 Juillet. |
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